J’aime quand, dès le matin, au creux de mon oreille,
J’entends sa voix.
J’aime savoir qu’il m’aime, que je n’ai rien à craindre :
Il tient tout dans ses mains.
Rien ne bouge dans la maison, le feu craque dans la cheminée.
Tout ici déjà fait oraison.
Les premières lueurs du jour, le premier rayon de soleil,
Pour moi, c’est comme un chant d’amour.
J’aime quand, dès le matin, au creux de mon oreille,
J’entends ta voix.
J’aime savoir que tu m’aimes, que je n’ai rien à craindre :
Tu tiens tout dans tes mains.
Et puis je m’en vais sur le chemin prier sous la chapelle des cieux.
Parfois même je sens ta main.
Si les silences en disent bien plus long que toutes les plus belles paroles,
Te savoir près de moi, c’est si bon !
(Pont)
Et je chante, et je chante,
Et je chante ton amour qui m’entoure pour toujours.
(× 4)