Quand tu souris
Samuel Olivier
Quand tu souris au matin du monde, Les anges, de leurs voix profondes, Entonnent un hymne à ta bienveillance. S’y joignent les étoiles, les mers. Ensemble, les cieux et la terre Résonnent devant ton amour immense. (Pré-refrain) Douce mélodie traversant les lieux et les temps. Tendre symphonie s’élevant du chœur des vivants.
Tous les chants d’amour sont écrits pour toi. Tous les océans proclament ta grandeur. Tous les cieux d’azur, les galaxies lointaines célèbrent ton nom. Les poèmes, les romances ne parlent que de toi. Les jeunes filles qui dansent exaltent ta splendeur. Le rire des nouveaux-nés, les vieillards couronnés, N’ont de plus beaux discours que tous leurs chants d’amour. À toi tous les chants d’amour.
Quand tu souris au fond d’une étable, Parmi les bergers, les mages Qui louent le sauveur qui nous est né, Sur la croix, tu souris encore. Pour moi, méprisant la mort, Tu t’offres pour prix de ma liberté. (Pré-refrain) Les prophètes et les anges s’émerveillent encore devant ta gloire, En se remémorant la plus belle de toutes les histoires. (Pont) À genoux devant le trône, Nous t’apportons nos couronnes, Nos airs de liberté et nos chants de grâce, Car à toi reviennent, à toi seul reviennent