Yahwé
Samuel Olivier
L’Éternel est mon berger ; de rien, je ne manquerai. Ô mon âme, chante, mon âme. Pas à pas, il me conduit ; au bord des eaux calmes, je le suis. Ô mon âme, chante, mon âme.
Oui, toujours, le bonheur et la grâce M’accompagneront devant sa face. Dans sa présence, tellement de joies, tellement de joies ! Et tant qu’il se trouve auprès de moi, Aucun mal, mon âme, tu ne craindras. Et, dans son temple, je reviendrai, je reviendrai.
Et si je traverse encore la vallée de l’ombre de la mort, Ô mon âme, chante, mon âme. Puisqu’il m’aime le premier, non, rien ne pourra me séparer De son amour, de son amour. (Pont) Yahwé, Yahwé, tu fais briller sur moi ton soleil. Yahwé, Yahwé, ta lumière chasse au loin les ténèbres. Yahwé, Yahwé, ta parole éclaire mon sentier. Yahwé, Yahwé, Yahwé. Bientôt, il viendra me chercher et, dans sa maison, j’habiterai. Ô mon âme, chante, mon âme. Sans cesse, jusqu’à son retour, mon âme, chante son amour Tous les jours, tous les jours.